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• 02/27/2023 - Infolettre Carapace - hiver 2023
• 04/13/2022 - Infolettre Carapace - printemps 2022
• 07/09/2021 - Infolettre Carapace - été 2021
• 05/27/2020 - Infolettre Carapace - printemps 2020
• 06/22/2019 - Infolettre Carapace - été 2019
• 03/21/2019 - Infolettre Carapace - printemps 2019
• 06/02/2018 - Infolettre Carapace - printemps 2018 

Les tortues sont vulnérables aux collisions routières durant leur saison active, de mai à octobre. Les femelles sont particulièrement exposées au danger en juin puisqu’elles se déplacent plus fréquemment pour pondre leurs œufs.

Si vous voyez une tortue sur la route, référez-vous à la section du formulaire « Avant d’aider une tortue en danger de collision routière » ainsi que notre capsule vidéo.

Signalez vos observations de tortue morte sur notre fiche en ligne. Nous documentons les mortalités de tortues.

Carapace est une plateforme virtuelle de collecte de données. Nous ne sommes pas un centre de réhabilitation des tortues et ne possédons pas l’expertise pour traiter les tortues blessées. Toutefois, voici quelques conseils à mettre en œuvre si vous trouvez une tortue blessée après avoir été frappée par un véhicule :

• Ne pas la placer dans l’eau ou la rincer à grande eau.
• Ne pas la nourrir.
• Ne pas la retourner sur le dos, ceci pourrait la blesser encore plus!
• Placer la tortue dans un contenant bien aéré, dans un endroit frais et sombre, loin des prédateurs, des insectes et du soleil.
• Contacter un intervenant qui pourra évaluer la situation et vous guider.
• Signaler l’observation sur notre fiche en ligne. Nous documentons les occurrences de tortues blessées.

Si vous ne réussissez pas à contacter un intervenant rapidement, essayez de garder la tortue hydratée en lui offrant de l’eau froide dans un contenant ou en faisant couler un filet d’eau devant son bec. Notre liste est mise à jour lorsqu’un intervenant donne son accord pour que ses coordonnées soient publiées.

Note : En vertu de la Loi sur la conservation et la mise en valeur de la faune, afin de réhabiliter une espèce sauvage, une personne doit être médecin vétérinaire ou titulaire d’un permis de centre de réhabilitation de la faune, de jardin zoologique ou de centre d’observation de la faune. Ces intervenants doivent prendre tous les moyens pour éviter la domestication et libérer l’animal dans la nature s’il est apte à survivre.

Ne déplacez pas une tortue à un autre endroit. Les tortues savent où elles s’en vont. En déplaçant une tortue ailleurs, non seulement l’habitat peut être inadéquat, mais vous nuisez à sa survie en l’obligeant à se déplacer davantage pour revenir à l’endroit où elle allait. De plus, vous risquez de propager des maladies à d’autres espèces.

Si la tortue se trouve dans un lieu qui présente un danger imminent ou un risque de mortalité certain, par exemple un site industriel, un développement domiciliaire où travaille de la grosse machinerie, un grand espace de stationnement où circulent des voitures, etc. vous pouvez la déplacer ou l’aider à se déplacer dans un milieu naturel situé très près.

Avant de toucher à une tortue, référez-vous à la section du formulaire « Avant d’aider une tortue en danger de collision routière » ainsi que notre capsule vidéo.

Lors de la nidification, ou ponte, les femelles cherchent principalement des sites au sol sablonneux, terreux ou graveleux pour y déposer leurs œufs. Les voies d’accotement des routes non pavées attirent souvent les femelles pour la ponte. Toutefois, ces endroits ne sont pas sécuritaires, ni pour les œufs ni pour les femelles : les nids peuvent être compactés par les voitures, les œufs détruits et les femelles écrasées. Soyez donc vigilants en bordure des routes!

Il arrive que vous trouviez des coquilles d’œufs éparpillés sur le sol autour d’un nid de tortue. Ces œufs ont été la cible de prédateurs comme le raton laveur, le renard ou la moufette. Bien que triste à voir, la prédation des œufs est partie intégrante du cycle de vie et de la biologie des tortues : celles-ci ont, de façon naturelle, un faible taux de survie des œufs et une maturité sexuelle tardive. Le problème vient plutôt des mortalités occasionnées par les humains et qui perturbent le cycle biologique des tortues. En effet, les études démontrent que si l’on ajoute 2 à 3 % de mortalité routière annuellement aux pressions environnementales actuelles, un déclin des populations à long terme de la plupart des espèces de tortues est possible. Pour prévenir un déclin des populations de tortue, il faut surtout miser sur la protection des tortues adultes et réduire les risques de collisions routières.

Ne jamais déranger, toucher ni déplacer une tortue ou ses œufs! Si vous désirez protéger un nid des prédateurs sur votre propriété, veuillez communiquer avec une personne-ressource dans votre région ou consultez la fiche produite par la Fédération canadienne de la faune pour la construction d’une cage de protection. Notez que la fiche indique de laisser la cage en place jusqu’en octobre, toutefois, si vous n’êtes pas en mesure de surveiller régulièrement l’éclosion, il est préférable de retirer la cage à la fin du mois de juillet.

Si vous souhaitez aménager un habitat pour protéger les tortues, veuillez communiquer avec une personne-ressource dans votre région qui saura vous donner des conseils ou qui pourra intervenir.

Carapace ne vend pas de panneaux de signalisation de tortues pour le moment, mais vous pouvez trouver des modèles de panneaux vendus en ligne par des commerçants québécois.

N’hésitez pas à faire connaître l’outil Carapace en partageant le lien sur les réseaux sociaux. Le succès de cette plateforme dépend des usagers qui la connaissent et l’utilisent. Vous pouvez également faire un don pour contribuer à la gestion de la plateforme et à la protection des tortues.

Note : La plateforme Carapace n’est gérée que par une seule personne à Gatineau. Il nous est donc impossible d’intervenir localement toutes les régions du Québec.

Si vous êtes témoin d’un comportement illégal envers les tortues ou leur habitat, contactez S.O.S. Braconnage : 1-800-463-2191

Les tortues d’animalerie, comme la tortue à oreilles rouges et la tortue boîte, sont des espèces exotiques qui proviennent de fermes d’élevage du sud des États-Unis ou de pays chauds. Elles ne devraient jamais être libérées dans la nature puisqu’elles ne viennent pas d’ici et peuvent menacer la survie de nos tortues du Québec (Éco-Nature, 2013).

Si vous désirez vous départir de votre tortue exotique, veuillez communiquer avec une animalerie, un vétérinaire ou la SPCA plutôt que de la relâcher en nature. Certains intervenants sur notre liste peuvent aussi prendre en charge les tortues à oreilles rouges. Ne nous contactez pas pour nous offrir une tortue, nous ne sommes pas équipés pour en prendre soin.

De nos jours, les téléphones intelligents et appareils numériques font partie du quotidien de la majorité des gens, donc nous avons fait le choix d’exiger cette information que nous jugeons très importante.

La photo nous permet de confirmer l’espèce de tortue, de valider l’information fournie dans le formulaire et, ainsi, de mieux documenter la menace de mortalité routière sur chaque espèce. Des données précises permettront aussi d’orienter le choix des actions prioritaires sur les espèces les plus menacées dans chaque secteur.

Si vous n’êtes pas en mesure de vous immobiliser de façon sécuritaire pour prendre la photo, mais que vous êtes capables de localiser l’endroit précis où se trouvait la tortue, vous pouvez remplir le formulaire de signalement en joignant un fichier texte portant le titre « Aucune photo ». Si vous utilisez un téléphone intelligent ou une tablette, vous pouvez photographier une note sur laquelle vous inscrivez « Aucune photo ». Assurez-vous de fournir des explications détaillées dans la case commentaire du formulaire pour nous aider à mieux traiter vos données.

Si vous n’êtes pas en mesure d’envoyer votre formulaire, assurez-vous d’avoir rempli tous les champs obligatoires. Lorsque des champs obligatoires ne sont pas remplis, le message suivant apparaît à l’écran « Le formulaire ne semble pas correctement rempli. Les erreurs ont été mises en surbrillance plus bas. », et les champs concernés s’affichent en orange directement dans le formulaire. S’il vous manque une photo, référez-vous aux explications sous Photo obligatoire sur Carapace.

S’il semble y avoir un problème informatique avec le site web, communiquez avec nous.

Voici quelques conseils pour vous assurer de remplir le formulaire correctement :

Conseil # 1 : Assurez-vous de bien lire chaque menu déroulant et de sélectionner la bonne option.

Conseil # 2 : Si vous observez deux tortues au même endroit, mais qui diffèrent par leur espèce ou leur condition, veuillez soumettre deux formulaires, soit un par tortue.

Conseil #3 : Avant d’envoyer votre formulaire, prenez le temps de vérifier le positionnement de votre observation sur la carte Google.  Au besoin, déplacez le curseur rouge pour préciser l’endroit de votre observation.

Conseil # 4 : Les options de localisation 1, 2 et 3 génèrent automatiquement une latitude et une longitude de format 45.123456 et -75.123456 nous permettant de produire des cartes. Ne pas effacer ces chiffres!

Conseil #5 : Si vous utiliser l’option 3 « adresse civique », prenez soin d’inscrire l’adresse complète, incluant la municipalité et la province. N’inscrivez pas votre adresse résidentielle à moins que la tortue ne se trouve sur votre propriété!

Nous avons obtenu le consentement de tous les partenaires avant d’afficher les coordonnées sur la plateforme. S’il n’y a pas de coordonnées d’intervenant dans votre secteur, c’est que nous n’avons pas réussi à en trouver ou que nous n’avons pas obtenu la permission de les afficher.

Si vous connaissez des vétérinaires, des experts des reptiles, des organismes œuvrant en conservation ou toute personne détenant un permis de réhabilitation de la faune, n’hésitez pas à leur parler de Carapace. Ils peuvent nous joindre pour signaler leur intérêt de collaborer à la protection des tortues.

Carapace est continuellement et activement à la recherche d’intervenants capables de prendre en charge les tortues blessées. Si vous avez l’expertise, les ressources et les autorisations légales pour intervenir auprès des espèces fauniques, veuillez nous contacter.

Le projet Carapace est géré par une passionnée des tortues, basée à Gatineau, dans le cadre de ses activités au sein de l’organisme Conservation de la nature Canada. Des consultants, des stagiaires et des partenaires contribuent ponctuellement à la validation et à l’analyse des données.

L’information recueillie dans les formulaires de signalement est autogénérée dans une base de données qui est partagée annuellement avec les experts de l’Équipe de rétablissement des tortues du Québec et les partenaires qui peuvent poser des actions de protection des tortues.

Carapace permettra de mieux cerner la problématique de mortalité routière dans le but de poser des actions pour aider les populations de tortues à mieux affronter les menaces anticipées des changements climatiques telles que la compétition des espèces exotiques, l’arrivée de parasites ou maladies, et les événements météorologiques extrêmes pouvant perturber les habitats.

Soyez patients. La boîte courriel de Carapace n’est gérée que par une seule personne dans le cadre de tâches multiples à Conservation de la nature Canada. Si vous avez une question générale sur les tortues, il est préférable de communiquer avec une personne-ressource dans votre région ou avec le bureau régional du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs situé le plus près de chez vous.

Les tortues peuvent prendre jusqu’à 25 ans avant de pouvoir se reproduire, et le taux de survie des œufs est très faible (environ deux œufs sur 100 se rendent à l’âge adulte). Afin de maintenir leurs populations, les tortues comptent naturellement sur la survie des individus adultes, surtout des femelles!

Toutefois, les activités de l’humain dans l’habitat des tortues apportent leur lot de menaces et occasionnent de la mortalité additionnelle de tortues adultes pouvant avoir de graves conséquences sur une population. Par exemple, des scientifiques ont évalué qu’un taux de mortalité annuel de plus de 5 % dans le cas des tortues des bois et mouchetée pourrait conduire au déclin d’une population.

Tous les efforts de protection sont donc importants pour assurer le maintien de nos populations de tortues!

N’hésitez pas à faire connaître l’outil Carapace en partageant le lien sur les réseaux sociaux. Le succès de cette plateforme dépend des usagers qui la connaissent et l’utilisent. Vous pouvez également faire un don pour contribuer à la gestion de la plateforme et à la protection des tortues.

Chaque espèce est importante dans un écosystème. Les tortues ont un rôle de prédateur et de proie. Elles contribuent à nettoyer les étangs et les lacs en mangeant des plantes, des insectes et des poissons morts tout en représentant une source de nourriture pour d’autres animaux. Elles aident également à disperser d’autres formes de vie en se déplaçant d’un milieu humide à l’autre.

Faire disparaître une espèce d’un écosystème peut affecter dramatiquement son équilibre en altérant d’autres organismes. En tant qu’humains, nous ne voyons pas nécessairement l’impact de chaque espèce sur notre bien-être, alors qu’un petit changement peut avoir des conséquences qui se répercuteront éventuellement sur nos vies. Imaginez l’écosystème comme un avion duquel on enlève des écrous et des boulons ici et là. Éventuellement, pensez-vous que cet avion sera en état de voler?

D’excellents outils québécois existent pour bien identifier les différentes espèces de tortues du Québec, notamment l’Atlas des amphibiens et reptiles du Québec et le guide Amphibiens et reptiles du Québec et des Maritimes (Desroches et Rodrigue), disponible en librairie.

Saviez-vous que certaines activités nautiques peuvent représenter une menace pour les tortues d’eau douce du Québec?  

Elles ont besoin de votre aide! Merci de contribuer à leur protection en adoptant ces bonnes pratiques. 

Pour diminuer le risque de collision et le dérangement par les plaisanciers 

• Réduisez votre vitesse dans les baies et les zones peu profondes. 
• Évitez de circuler dans les herbiers aquatiques et aux abords des sites d’exposition au soleil. 
• Minimisez le dérangement sur les plages en juin, en regroupant vos activités. 
• Évitez d’approcher les tortues, particulièrement lorsqu’elles sont en train de pondre. 

Pour les pêcheurs 

• Pêchez avec des hameçons sans barbe (sans ardillon). 
• Interrompez votre activité de pêche si vous apercevez une tortue nageant dans le secteur. 
• Ne coupez pas la ligne si vous prenez une tortue. 
• Évitez de remonter la tortue au moulinet si possible et tentez plutôt de la prendre au filet. 
• Utilisez une pince pour récupérer l’hameçon, et restez prudent pour éviter une morsure, particulièrement avec la tortue serpentine.

Tortue blessée 

Si vous trouvez une tortue blessée ou que vous n’arrivez pas à retirer votre hameçon, consultez Carapace.ca pour contacter un centre de rétablissement des tortues. 

Transmettez votre observation avec une photo et une localisation précise sur la plateforme Carapace.ca, et sélectionnez la campagne « Nautique ». 

Ontario Turtle Conservation Centre
Voir la liste des centres de réhabilitation ici.

Aqua Tropicale
159 rue Lasalle
Saint-Constant, Québec
450-633-0775

Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs - Bas-Saint-Laurent

Geneviève Bourget
genevieve.bourget@environnement.gouv.qc.ca
418-862-8213 poste 302

Johanne Dussureault
johanne.dussureault@environnement.gouv.qc.ca
418-551-5905

Léane Gamache
leane.gamache@environnement.gouv.qc.ca
418-709-6951

Conseil régional de l’environnement du Centre-du-Québec
Camille Pelletier-Guittier
camille.pelletierguittier@crecq.qc.ca
438-392-3889

Conservation de la nature Canada – Chaudière-Appalaches
Madelaine Proulx
Madelaine.Proulx@conservationdelanature.ca

Conservation de la nature Canada - Gaspésie
Camille Bolduc
camille.bolduc@conservationdelanature.ca

Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs – Gaspésie et Îles-de-la-Madeleine
Danielle Gauthier
Danielle.Gauthier@mffp.gouv.qc.ca

Conservation de la nature Canada
Annie Ferland
annie.ferland@conservationdelanature.ca
514-876-1606 poste 6250

Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs - Lanaudière
Émilie Chalifour
emilie.chalifour@mffp.gouv.qc.ca
450-654-7786 poste 257

Conservation de la nature Canada
Annie Ferland
annie.ferland@conservationdelanature.ca
514-876-1606 poste 6250

Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs – Laurentides
Sébastien Auger
sebastien.auger@mffp.gouv.qc.ca
819-623-5781 poste 261

Conservation de la nature Canada
Charlène Melançon
charlene.melancon@natureconservancy.ca

Parcs Canada - Unité de gestion de la Mauricie et de l'Ouest du Québec
Guillaume Rheault
guillaume.rheault@canada.ca

Conservation de la nature Canada
Gabrielle Cauchon-Déry
gabrielle.dery@conservationdelanature.ca

Organisme de bassins versants des rivières du Loup et des Yamachiche (OBVRLY) – Saint-Alexis-des-Monts
Geneviève Richard
genevieve@obvrly.ca
819 264-2033 poste 2224

Conservation de la nature Canada – Estrie
Madelaine Proulx
Madelaine.Proulx@conservationdelanature.ca

Corridor appalachien - MRC Haute-Yamaska, Brome-Missisquoi, Memphrémagog
Clément Robidoux
tortue@corridorappalachien.ca
450-297-1145

Conservation de la nature Canada - Montérégie
Chantal Cloutier
chantal.cloutier@conservationdelanature.ca

Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs – Estrie
Marie-Josée Goulet
819-820-3883 poste 230

Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs – Montérégie

Lyne Bouthillier
450-928-7608 poste 700149
Lyne.bouthillier@mffp.gouv.qc.ca

Nathalie Tessier
450-928-7608 poste 310
nathalie.tessier@mffp.gouv.qc.ca

Nature-Action Québec - Corridor vert de Vaudreuil-Soulanges
Geneviève Gervais
corridorvert@nature-action.qc.ca
450-536-0422 poste 422

Zoo de Granby - Lac Champlain, Cantons de l'Est
Patrick Paré
ppare@zoodegranby.com

Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs - Outaouais
Olivier Cameron Trudel
olivier.trudel@mffp.gouv.qc.ca
819 246-4827, poste 248

Conservation de la nature Canada
Francisco Retamal Diaz
francisco.diaz@conservationdelanature.ca

Bénévole - Biologiste expert
Daniel Toussaint
danieltoussaint@videotron.ca